Annonce importante venue du Languedoc.

Si le blond n'était pas en Bourbonnais, des nouvelles, mauvaises assurément, étaient parvenues à ses oreilles. Et c'est en homme d'honneur et de sérieux, qu'il prit la plume pour qu'on sache son avis sur la question, envoyant ses serviteurs porter sa parole. Un exemplaire fut envoyé au castel familial, et un autre directement en place Auvergnate, bien placardés comme il faut sur un panneau solide.

Annonce importante venue du Languedoc. Annoncehelo

Annonce importante venue du Languedoc. Annoncehelo

La jeune femme allait retrouver ses amis quand quelques rires se faisaient entendre sur son passage et quand elle vit Vladimir et Cham.. elle sut le pourquoi.. Comment son frère osait-il??? Et un volcan en sommeil qui explosa, elle repartit derechef au castel afin de lui repondre !! Elle etait vraiment furieuse, aucune nouvelle de lui pendant des mois et la rhooooooooooooooooooo ca allait chauffer tiens !!

Citation :: De nous Heloise Victoire De Troy, Princesse de Souvigny, Mini Merveille de la famille Troy
A vous, Arthur de Troy, Seigneur de Fourchaux et frère trop absent a notre gout !

Nous prenons acte et connaissance de votre parchemin, Nous vous faisons savoir quelques points de details que vous devrez prendre en compte.

Faisons savoir que:

- Si votre attention est de nous débarrasser de vils marauds qui pourraient piluler autour de notre personne, nous ne pouvons que cautionner votre parchemin. Cependant si le but est de faire fuir les personnes chères a notre coeur, nous combattrons cela.

- Si vous faites fuir celui que nous aurons choisi car celui ci ne vous plait, nous vous occirons avec le premier instrument a notre portée.

- Nous choisirons epoux, ou amoureux , que si cela nous sied, et si notre coeur et notre ame l'ont choisi, et non point par privilège, ou par attente de vos envies seules..

- Notre coeur sera seul maitre de nos relations futures. Et que nous menerons notre relation comme bon nous semblera

- Si vous desirez vous meler de cela, de reprendre votre role de frère , il vous suffit de revenir.

- Si vous voulez avoir des nouvelles de votre soeur et de l'etat de son coeur et de la cour qui pourrait lui etre faite, soeur que vous dites aimer, vous n'avez qu'a lui ecrire, et non point la laisser sans nouvelles depuis des mois, la laissant se ronger les sangs pour vous.

- Vous avez beaucoup a rattraper envers votre soeur cadette et que nous vous en voulons de ce silence trop lourd, de ces nuits passées seule a combattre les monstres de notre chambre.

- Nous vous aurions soutenu quelque soit vos decisions, meme si nous aurions du combattre parents, familles et amis. Mais que maintenant nous reviserons notre comportement selon les circonstances

- Si vous desirez nous mettre au couvent, il faudra d'abord nous passer par les armes car jamais nous n'accepterons de nous faire traiter ainsi, surtout le couvent quoi??

- Si vous voulez reellement nous proteger, faites le donc des brigands que nous combattons en armée. .

- Si vous vous inquiétez de notre personne, vous devriez le faire plus souvent, notamment quand nous etions seule et deprimée au castel alors que nos parents se dechiraient. Nous avons perdu beaucoup d'envie de nous nourrir, de vivre et de nous lever le matin. Beaucoup de notre force a egalement disparu

- Tout individu ayant notre coeur et se sentant insulté par vos paroles, aura un baiser de consolation !

- Si vous desirez voir votre soeur, la cherir, l'entourer de vos bras protecteur, de votre amour fraternel, vous meler de sa vie de coeur, VOUS N'AVEZ QU'A REVENIR !!!

Fait au castel de Souvigny ce 26 Novembre 1460

Jeannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnottttt

Une porte qui s'ouvre, une vieille tete qui apparait

Oui Mademoiselle,?

Que ceci soit envoyé à notre trop absent frère

Mademoiselle voyons

Jeannot, faites le !!! .............................S'il vous plait

Pensez vous qu'il reviendra cette fois ci ?

Un long soupire deprimé de la jeune femme pour unique reponse..Elle l'esperait plus que tout, mais si les supplications qu'elle lui envoyait depuis des années ne suffisaient pas, peut-etre que son ton plus vindicatif le ferait. Meme si il revenait pour la disputer .. au moins il serait la quoi.. .. Et un jeannot qui part rapidement malgrè son vieil age porter le courrier au pigeonnier.

La jeune femme qui se baladait dans les couloirs du château vit un Jeannot partir en courant, pour peu qu'il puisse le faire, il était encore alerte malgré son grand âge.

Et bien Jeannot ? que se passe-t'il ?

Et le Jeannot de s'arrêter quelques secondes pour répondre avant de repartir en courant.

C'est votre sœur Mademoiselle. Elle m’envoie faire partir ce courrier pour votre frère Arthur.
Hum... Vous devriez aller la voir, elle semble... triste.

Et ni une, ni deux, voilà Constance parcourant le château et trouvant sa sœur dans l'entrée avec un parchemin entre les mains.

Mais que se passe-t'il Héloïse ? pourquoi cette mine tristounette ?

Furieux. Le blond était furieux, ce qui ne manquait pas de faire sourire la douce rouquine, qui lisant la lettre de la petite Troy, enragea encore plus l'héritier en soutenant la véracité de ses dires, selon elle. Trahison que voilà. Certes il faisait ingérence dans la vie de sa soeur, mais c'était son bébé, c'était une enfant, c'était son trésor ! C'était celle qu'il avait aimé plus que sa propre vie, et qui le poignardait ainsi dans le dos. La réponse ne tarda pas.

Citation :: A Héloise, vilaine sœur sans cœur,

Quoi ? Que lis-je ? Quel toupet ! Quel culot !

Je t’annonce petite fille mon retour imminent. Je t’annonce jeune enfant, la correction qui ne saurait tarder à venir flatter ton vilain fondement d’insolente.

Je n’ai aucune attente de ta part, que l’assurance seule que jusqu’à ta mort vieille fille tu resteras, car l’homme est un être méprisable et indigne, ce dont tu ne te rends compte dans ton aveuglement, mais découvriras dans la souffrance, si tu réussissais à passer outre mon interdiction.

Ton insolence prouve sans aucun doute que déjà l’homme t’a perverti, où est parti mon trésor ? Il semble qu’il ait été profané, et ne soit plus. Et ce profanateur sera occis dès mon retour, sans chance de m’adresser un seul mot, tes paroles sont par trop révélatrices qu’il n’apporte rien de bon et doit mourir sur le champ, avec moult souffrances juste pour compenser tout baiser de consolation.

On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. M’as-tu écrit quand tu voulais de ma présence, de mon réconfort ? Que nenni. Pas une seule nouvelle ne m’est parvenue, avant cette lettre assassine. La critique est aisée, alors que les tords sont partagés, tu es venue en Languedoc, t’ai-je vue ? Aurais-tu salué le frère qui te manquait tant ? Hé bien non !

Alors je vais revenir, ce que j’avais déjà prévu depuis quelques jours avec Morganenn. Mais n’attends aucune compassion, je ne flatte pas qui mord ma main. Moi qui t’ai toujours chéri, suis toujours resté à ta disposition, tu me blesses, et me déçoit cruellement.

Arthur de Troy.

La moue dubitative,elle repartait de la pièce avec le parchemin de son frère a la main, quand elle faillait percuter sa soeurette. Il ne fallaut pas longtemps a cette dernière pour voir que quelque chose clochait.

Mais que se passe-t'il Héloïse ? pourquoi cette mine tristounette ?

Un Pffff lancé , puis elle lui tendit le parchemin de l'ainé.

Non mais franchement il me fait quoi l'Arthur, il ne va pas s'en sortir comme ca, tu imagine toi il est loin et il veut m'empecher de .. rhoooo j'vais le trucider avec ... avec ... *Regardant autour d'elle elle prit ce qui lui tombait sous la main.. Une vil cuillère !! la levant fièrement* A coup de petites cuillères !!

Le rire quand meme en s'imaginant courir après arthur la cuillère menacante

Oh Constance, je voudrais tant qu'il revienne .. peut-etre que mon courrier va le faire reagir si il voit que je lui tiens tete? Tu crois hein?

Prenant le bras de sa soeur, elle l'entraina dans la pièce, pour papoter et papoter encore et encore..

Quelques heures plus tard.

La jeune femme avait parlé longuement avec sa soeur du parchemin de l'ainé.. et de sa reponse, c'etait pour elle grande plaisanterie, car elle savait que son frère ne lui ferait aucun mal et qu'il serait un peu en colère mais pas trop ..

Et puis une reponse.. Un sourire en lisant" vilaine soeur" Oh bah oui ca c'est vrai ... et puis le reste .. son sourire radieux se transforma en mine passablement depitée .. triste .. encore plus triste que lors des evenements des dernières semaines.. Une longue respiration alors que des larmes ne coulent sur ses joues blanches.. son frère la haissait donc a ce point.. Et en plus il avait la malhonnêteté de pretendre qu'elle ne lui avait jamais ecris, qu'elle ne l'avait jamais supplié alors que lors de son voyage en Languedoc son courrier de supplication fut sans reponse .. S'essuyant le nez qui coulait en meme temps que ses larmes, elle reprit la plume et un petit parchemin.

Citation :: Qu'il en soit ainsi..

Furent les seuls mots qu'elle ecrivit..Le coeur lourds de perdre son unique.. sa moitié qu'elle avait tant esperé revoir, elle releva le nez, regardant sa soeur

J'vais te laisser un peu .. Articula t-elle tentant de rester digne dans cette douleur qui avait traverser son coeur et l'avait reduit en miette elle et ses espoirs.. Se relevant, elle partit de la pièce, marchant febrilement dans le couloir.. avant de s'effondrer en larme en rentrant dans sa chambrée.

Le rouquin avait bien rit en lisant l'annonce faite par son fils, au moins cela permettait de faire de l'animation et puis il fallait bien entendu vérifier ce que faisait Hélo, elle était jeune...
Pourtant la suite ne l'enchanta guère et il était hors de question que ses enfants se déchirent de cette façon.
Une discussion animée avec Héloïse, et un duc qui n'allait pas laisser faire cela aussi il se permit d'écrire à son fils après avoir eut connaissance des lettres.

Citation :: A Arthur, notre fils bien aimé.

Ton initiative concernant les fréquentations de ta soeur est tout à ton honneur et je ne t'aurai pas écrit si cela n'avait pas dégénéré.

Je refuse de voir un frère et une soeur se déchirer et avoir de tels mots alors qu'ils sont tous l'un pour l'autre. Vous êtes avec Constance et votre futur frère ou soeur, nos enfants et j'attend de vous à ce que cela cesse immédiatement des deux côtés.
Il ne peut y avoir de mot de haine ou d'insultes ou d'autres choses de ce genre entre vous deux. Je mettrais donc cela sur le coup de la colère.

Mon fils, je te prie d'écrire à nouveau à ta soeur et d'exprimer d'une autre façon ta pensée et d'exprimer ton amour à ta soeur car je sais qu'il existe toujours.
Les affaires de mariage je les surveille de près et Héloïse se devra d'être irréprochable de ce côté là mais cela ne nécessite pas de tels mots.

Je t'attends, nous t'attendons tous à Souvigny.

Ton père, Lanfeust.

Lettre au pauvre Jeannot puis il prit la direction de la chambre d'Héloïse.
Devant cette porte il savait qu'il trouverait une Héloïse en mauvais état mais bon il se devait de régler ce problème et rapidement.
Il frappa et attendit.

Chambre d'Heloise :

Assise devant la cheminée, elle regardait le feu qui brulait en craquelant doucement. Et pourtant malgrè sa proximité la jeune femme tremblait de tout son corps, de froid, de peine. Jamais au monde elle ne fut si seule qu'a ce moment. Son Essentiel , sa moitié d'elle, l'etre qu'elle avait attendu pendant des années, avait été des plus blessant dans son courrier. Cette phrase revenait constamment en elle "tu me decois", "tu me decois" Toujours ces memes mots qui lui tambourinait la tete et faisait couler ses larmes en silence. Elle qui tentait d'etre une fierté pour tous.. elle avait perdu la son combat, et surtout devant son frère qui etait sa vie..

Un bruit a la porte, la voix entrecoupée

va t'en Jeannot j'ai besoin de rien

Se recroquevillant sur elle meme, la tete posée sur ses genoux, laissant sa longue chevelure ondulée faire un rempart entre elle et le monde qui l'entourait, le parchemin de son frère a ses cotés "Tu me decois.. " entendait-elle de la voix forte de son ainé, le voyant dans sa belle armure argentée devant elle, le regard decu ..

Un bruissement derrière elle, elle releva juste un peu la tete

Jeannot j't'ai dis que..

Elle se tut en voyant son père dans sa chambrée, reprenant sa position regardant le feu

Si tu veux me disputer, j'en ai pas la force papa..

Le rouquin entre dans la chambre de sa fille, et en effet il la retrouve dans un triste état. Son fils avait vraiment était trop dur envers elle, il n'acceptait de les voir ainsi.
Le rouquin prit place à côté de sa fille et plaça son bras sur ses épaules sans prononcer aucun mot, il se contenta d'être là et d'observer les flammes dans la cheminée.
Il fallait du changement dans la famille, de nouveaux horizons, de nouveaux buts pour changer les idées de tout le monde. Restait à voir quoi maintenant...

Son regard se porta alors sur la chevelure blonde qui cachait le visage de sa fille. Elle devenait une jeune femme même s'il aurait préférait qu'elle reste sa petite princesse.
Avec l'âge venait les problèmes amoureux et de mariage, le rouquin voulait le meilleur pour ses enfants mais aussi qu'ils soient heureux.
Long soupire avant de lui parler.

Hélo je ne vais pas te disputer mais il y a des choses que je ne peux pas accepter.
Je ne veux pas que mes enfants se déchirent, je veux que la famille reste soudée ! J'ai écrit à ton frère pour que cela s'arrange et j'attend des efforts de toi aussi.

En ce qui concerne son annonce, il y a une part de vérité, des choses doivent être respectées, et notamment le fait que tu n'ais pas à être courtisée en cachette par exemple et encore moins que tu fasses de même.
Soit honnête avec moi et avec ta mère aussi et soit digne, c'est tout ce que je te demande.

Il la serra un peu plus fort et attendit qu'elle réagisse à ses propos.

Doucement blottie contre son père, elle l'ecoutait en sniffant comme elle le faisait souvent quand elle pleurait. Ses tremblements cessèrent petit à petit, après tout n'etait-elle pas entourée des meilleurs bras consolateurs de tout le royaume ?

Je sais papa je ne voulais pas me dechirer avec .. juste.. juste tu vois qu'il revienne en voyant que peut-etre un homme ..

Un long soupir vint ponctuer la fin de sa phrase

Tu sais c'est faux ce qu'il a marqué .. Les hommes ne sont pas mechant.. enfin pas pour moi, toi, Benoit, Anakin, Cirano, Vladimir.. Vous etes des gens bien, des hommes bien, gentil et enfin tout ca .. je ne comprend pas pourquoi ils parlent d'eux avec tout ces mots si durs.. Tu sais si il pense ca .. et bien aujourd"hui il m'a prouvé qu'il etait bel et bien un homme, car jamais personne ne m'a fait autant souffrir par ces mots

Rebaissant la tete, elle allait repartir dans ses larmes, se mordant la joue pour ne plus pleurer, elle se reblottit contre lui

J'lui ecrirais après .. mais pourquoi il m'a dit ca ? tu crois vraiment qu'il me deteste a ce point? papa je fais quoi si mon Arthur ne m'aime plus? Je veux le revoir et qu'il me prenne dans ses bras.. je veux.. je veux..

Et voilà une larme rebelle coula a nouveau sur sa joue, elle l'ecouta encore et encore tenta par tout les moyens d'oublier ce qu'elle avait lu

Je ne savais pas comment vous parler de tout ca moi .. je me disais peut-etre qu'il fallait que je sois sure de moi avant de vous parler? tu vois ?c'etait pas une cachotterie.. juste j'ai pris les choses a l'envers.. Je pensais vraiment que si je vous parlais de ca .. c'etyait après etre sure de moi? Tu sais je ne veux pas etre une personne qui vous presente quelqu'un un jour pour vous dire du lendemain Oh bah non je ne l'aime pas .. tu vois?

Je te dirais tout ce que tu veux savoir..

La lettre de son père l'avait blessé et même énervé. Quand on passait toute sa vie à tout faire pour plaire à son père et que l'on obtenait que critiques, c'était toujours un coup dur. Son conflit avec sa sœur était assez difficile pour qu'on en rajoute pas. De plus ça lui rappelait l'affaire avec Laure, le conflit, le pardon forcé, et cette distance qui n'avait jamais disparu depuis...

Le blond avait préféré laisser passer le temps, retrouver la paix pour écrire sereinement.

Citation :: Père,

Ton avis a toujours eu beaucoup d'importance pour moi, et j'ai toujours mît un point d'honneur à t'obéir, mais je n'écrirais pas à ma sœur.

Bien sur que je l'aime, et c'est la raison pour laquelle tout ceci a "dégénéré" selon toi.

Mais tu ne connais pas les relations qui lient un frère et une sœur. Il n'y a rien de dégénéré dans le fait qu'un frère et une sœur crient, se menacent. Et tout ceci se réglera de la même façon que ça c'est produit, entre nous. Nous nous sommes quittés si jeunes. J'ai abandonné une sœur sans volonté propre et je retrouve une femme au caractère bien trempé. Nous devons tester nos limites, nous titiller plus que nécessaire pour savoir quelle est notre place par rapport à l'autre aujourd'hui, sans quoi nous serons des étrangers l'un pour l'autre.

Nous excuser par ordre est une hérésie, qui n'apporterait que frustration, froideur, distance. Aussi je te prie d'oublier cette affaire qui ne regarde que nous, je déplore qu'Héloise soit allée se plaindre auprès de toi. Mais elle l'a aussi fait auprès de moi, et je te laisse nous délaisser pour te soucier de Laure, car, bien que je ne saches rien de tout ceci, j'ai cru comprendre dans la lettre d'Héloise qu'il y avait là une affaire qui la rendait éminemment malheureuse. Cette remarque pourrait te sembler déplacée, mais tu m'as toujours ordonné de m'excuser auprès des femmes de notre famille pour notre bonheur à tous, et il me semble important de te rappeler que si tes conseils sont sages pour moi, ils devraient l'être pour toi. Ne sois pas plus fier que moi, Laure a toujours fait ton bonheur et quel que soit le tord qu'il lui incombe, le pardon est un précepte aristotélicien, et la rancune n'apporte rien de bon.

Que dieu te gardes.

Ton fils.