Bienvenue à Souvigny, fief du Duc Lanfeust de Troy

[hrp/ Blanche est brune ^^/]

Un sourire en coin à la Lanfeust, pour un peu ça lui aurait manquer. Sauf que son sourire déclenche
chez la douce mais imprévisible et caractèrielle Blanche une bonne saute d'humeur.

"Hum...je sais..Vu votre réaction à mon absence à votre mariage. Je m'en suis voulue de n'avoir pu venir..."

Emeraudes qui le fixe tout en descendant de son carosse pour tomber nez à nez avec Arthur. La Blanche le détaille, le trouvant bien plus grand qu'au mariage de la belle Cham. De sa modeste taille, s'incline avant de lui dire de sa voix grave:

"Arthur...quel plaisir de vous voir..."

Un sourire au petit blond, espèrant surtout voir un autre blond mais ravie de revoir le mini-Lanfeust."Mon Oncle, un vin d'Anjou, ça vous va ?"

Sourire qui s'estompe en ressentant la douleur de sa cuisse gauche; celle-ci montant dans son corps, dans son bras jusqu'à son petit cerveau. Elle serre le poing de colère et de frustration, n'ayant toujours pas mis la main sur ses agresseurs."Votre bras...mon Oncle"

[Merci pour la remarque ^^ un peu à l’ouest moi, désolé. J’ai rectifié du coup.]


La jeune femme le dévisageait, mais pas d’une façon qui le mettait mal à l’aise, ni d’un regard totalement nouveau. Non, cette femme devait le connaître, mais d’où ? C’est qu’il en avait vu du monde malgré son jeune âge et malgré ses tentatives peu fructueuses de se planquer lors des cérémonies officielles.
En tout cas une chose était certaine, c’est que ce n’était pas dans les mois les plus récents, aussi parce qu’il avait passé plus de temps avec des mioches de son âge qu’avec des adultes.

Et s’il ne l’avait pas déjà vue, alors on avait parlé de lui à la brune. Elle connaissait son nom et la chose étonna d’ailleurs le blondinet.
Il rosit légèrement lorsqu’elle lui confia qu’elle était heureuse de le voir. Il n’avait pas l’habitude qu’on se souvienne de lui, ni qu’on soit heureux de le rencontrer.

Finalement, ils se connaissaient déjà. Elle n’avait pas précisé qu’elle était heureuse de le rencontrer, mais heureuse de le voir. Et si Arthur n’était encore qu’un gamin, il approchait tout de même de la majorité et savait faire la différence dans le choix des mots.

Je suis ravi de vous voir également ! Il ne mentait pas, il ne se souvenait simplement pas de qui était cette personne, mais il la trouvait fort belle et gracieuse, avec ou sans sa voix grave. Toutefois veuillez excuser mon étourderie mais j’ai oublié votre nom … Et de rougir de plus belle, conscient du comique de la situation.

Après une grande discussion avec ses deux très grand ami, il y en avait l'un d'eu qui avait eu une très grande idée.
Ils ont fini part se rejoindre au château de Besson chez Kimi, pour enfin prendre le carrosse de Kimi pour se rendre chez leur suzerain Lanf.
Ils continuaient à discuter, le temps de la route afin de m'être les choses bien au point, cela faisait bien longtemps que Cham, Benoit et kimi n'étaient pas en semble, il y avait des choses à mettre en place et au clair.
Les voilà arrivé au porte de Souvigny, au poste de garde un gardien les arrêta.
Kimi prit la parole.

Bonjour, nous sommes les vassaux de Lanfeust de Troy, Duc de Souvigny, Faites lui savoir que nous arrivons, que nous lui demandons une audience.

le Carrosse du Seigneur de Besson était venu a Meillers et Noyant pour récupérer Cham et Benoit en direction de Souvigny, les 3 vassaux du Duc de Souvigny etaient reunis pour demander audience a leur Suzerain pour lui faire une proposition que les 3 amis s’étaient mis d'accord.

le Voyage était fort appréciable, malgré les secousses du carosse dont Cham priait que les essieux ne cèdent pas, il y avait bien longtemps qu'ils ne se s’étaient pas retrouvés et les discutions allaient de bon train dans la bonne humeur.

Les 3 Vassaux riaient de s'imaginer la Tête de leur Suzerain quand il apprendrait leur présence aux grilles du Château.

Une fois arrivé, Kimi allait se présenter au poste de garde, Benoit sortit sa tête du carrosse pour se montrer au garde, il ne restait plus qu'a attendre!

Citation :

Rejoins-nous dès que possible aux grilles de Souvigny, on fait ce qu'on a dit!

Je t'embrasse

Ton fillot

Pour le profane qui ne serait pas dans le secret, cette missive pour le moins sibylline resterait une énigme totale.
Tel était d'ailleurs l'effet escompté!
Quiconque aurait le mauvais goût de jeter un oeil à la correspondance, qui ne lui était présentement pas destinée, n'y comprendrait goutte de tout manière!

Elle avait galopé une partie de la journée à bride abattue pour ne point arriver trop tard au point de ralliement.
Non ils ne partaient point en guerre, mais à une entrevue un peu spéciale... celle des vassaux de Lanfeust... plus sa chapelaine!
Ben oui la pauvre, faut pas l'oublier non plus hein et la sortir que pour les occasions nécessitant bondieuseries!
Elle va sentir le renfermé sinon...

Enfin, maintenant elle sentait le cheval très certainement, et ce n'était pas vraiment mieux...
Elle allait se retrouver en bonne compagnie et elle reniflait l'écurie...
Mais avec un peu de chance une âme généreuse lui offrirait de se "rafraichir" pendant que vassaux et suzerain commenceraient à discuter, ils pourraient ainsi aborder des choses qui ne la regardaient en rien, avant d'attaquer la raison de leur venue, qui ne la regardait pas plus mais qu'elle soutenait totalement!

Le poste de garde fut promptement en vue.
Mais alors que les grilles auraient dû s'ouvrir, elle s’aperçut qu'il n'en était rien.
Il y avait encombrement devant les grilles: un carrosse blanc arborant les armes de Besson attendait devant.

"Ah parfait, pille à l'heure!"

Un petit coup de rein imprimé et hop Athéna s'approcha au pas du carrosse.

"Et bien, on dirait que pour une fois, je ne suis pas trop en retard!!
Le Bonjour à vous mes amis!!!"

Elle lui sourit, quel charmant homme.

Je vous remercie pour tout, je vais prendre mes repères, me préparer et j'irais rejoindre ma cousine dans le salon.

Si j'ai besoin de quelque chose, je vous ferais signe. Encore merci.

(je n ai pas acces a la chambre)

Que fait un maréchal de Bretagne embourbé dans une forêt accompagné d'une lance(1) ? Bonne question mais quand on ajoute que ce maréchal à un frère qui parait-il serait en Suède et qu'au lieu de ça il a apprit dans l'un de ses courrier qu'il était mêle de près à des élections royales et que pour ça il ne pouvait qu'être ici, à Souvigny.

Pourquoi voulait-il donc son frère à ce point là ? C'est bien simple, ce saligot préfèrait être ici qu'à l'enterrement de sa soeur, son propre sang et c'est donc ainsi qu'il s'était retrouvé dans cette forêt proche de Souvigny...

[Dans la fôret]

La lance avait moult piéter jusqu'à Souvigny, faisant peu de halte et dormant à la belle étoile bien trop souvent. Ce jour, il avait traversé un visage appartenant au duché de Souvigny et un manant leur avait indiqué un raccourci qui peut faire gagner du temps à celui qui en connait la route or dans ce cas, ça ne l'était pas. Le Nauériels tenant fermement les rênes de son roncin s'adressa à l'un de ses soudoyer :

Oye Olivier, qu'est ce que ce raccourçi que tu nous as trouvé ?

Un autre soudoyer dit à ce fameux Olivier.

Tu nous as menée dans une attrape, nigaud.

Ce soudoyer inventa le mot attrape-nigaud, si si je vous jure...non allez c'était juste pour la forme ou le fond -méditation-. Quoi qu'il en soit, l'Olivier restait sur de son fait et continuait son cheminement cherchant désespérement la route alors le blond -moi- dit avec autorité.

C'est par là, le nord est là bas et c'est donc là qui faut aller.

Il indiqua le nord-est du doigt ce qui étonna certains de ses hommes. Le Nauériels avait vu la mousse sur les arbres et donc il lui était plus aisé pour lui de se réperé dans une forêt tandis que les nicets cherchaient tant bien que mal la route.

Quelques h...minutes plus tard, ils furent enfin sortit de cette foret.

Ah voilà Sauvignye (2) !, s'exclama le Nauériels.

Il se redressa sur sa monture, le dos droit, les yeux fixant la ville de Souvigny avec un intérêt croissant. Il flairait que son frère était présent et il dit à sa mesnie.

Gast (3)! je sens qu'il est là, ouvrez l'oeil.

Son cheval aborda le chemin menant à la porte de la ville et d'une fois forte et puissante il s'adressa à un garde.

Oye garde, je viens visiter ma famille qui vit céant. Je suis Mike de Nauériels, seigneur de Lanvaodez et m....

Inutile de préciser sa fonction de maréchal, ça serait provoquer un mal aise aux gardes présent.

..annonciateur d'une triste nouvelle.

Autant faire une pierre trois coups : Choper Dist, rencontrez la famille de sa feue mère et annoncer une mauvaise nouvelle et il attendit le retour du garde...



[(1) Lance : Pas celle de R.R qui contient 8 gus mais une vraie lance qui variait de 20 à 30 hommes d'armes.

(2) Clin d'oeil à qui comprendra

(3) Gast : un gros mot en Breton, "putain !"