Hall d'entrée du château de Souvigny...Présentez vous.

Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 06/01/2010

L'homme avait laisser son cheval à l'écuyer dans la cour avant de se diriger vers le hall du château. Un serviteur lui ouvrir la porte. Il serra un peu plus sa sacoche contre lui, puis regarda la pièce où il se trouvait sans savoir très bien où aller.

Il arrêta une servante qui semblait presser avec une pile de drap blanc à la main pour lui demander son chemin.

- Bonjour, je souhaite rencontrer le Duc de Souvigny s'il vous plait, par où dois-je me diriger ?

Le Vieux Jeannot était occupé quand on le prévint de l'arrivée d'un coursier pour le Duc de Souvigny et le Seigneur de Champaigue. Fichtre, qu'est ce que c'était encore ?

Il réajusta ses habits de domestique, le plus fidèle Duc et il lui rendait bien.

Arrivant dans le hall, il inspecta l'homme et avec sa main l'invita à le suivre.

Si vous voulez bien me suivre Messire, le Duc va vous recevoir dans le Petit Salon.

Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 06/01/2010

L'homme regarda le domestique du Duc venir à lui et lui proposer de le suivre. Il lui emboita le pas sans mot dire. De toute façon entre domestique servant de grands hommes, ils savaient bien que les mots étaient inutile.

Nombre de messages : 40 Date d'inscription : 21/01/2010

Tridant une fois avoir passé l'entré du chateau, affroté les terrible gardes, posa son cheval pur sang, espérant qu'il lui arriverais rien, vu le prix qu'il y a mis, rien que pour l'occasion en plus....Tsss qu'est ce qu'il ferais pas. Aller Op l'entré du chateau, ensuite, on se trompe pas, rez de chaussé, remarque pas compliquer c'est en entrant.....Un vieux serviteur était la....il avait quelques années dans les dent le serviteur (enfin de celle qui lui reste), Tridant ne savait pas s'il devait se présenter, ne rien dire, ou bien fuire....bon aller il va pas le manger

Bonjour, Tridant de Montpensier, je suis ici pour rendre une visite amicale a Sa Grâce Lanfeust

Il regarda avec un petit sourire respecteux le serviteur

Le serviteur était allé chercher le Duc au pas de course et le Duc arriva donc à l'entrée du château pour voir que c'était bien Tridant qui était là, un petit sourire à son attention, le jeune juge qui n'allait pas le rester longtemps mais qui entrait enfin au conseil ducal. Il fallait que le paquet avait été mis sur cette campagne, ils avaient battus les deux plus vieux partis montrant ainsi à tous que Volcan ce n'était pas des rigolos.

Bonjour Tridant et bienvenue à Souvigny.

Quel plaisir de te voir ici mais ne restons pas à l'entrée et allons au petit salon.

Nombre de messages : 40 Date d'inscription : 21/01/2010

En appercevant Lanfeust, Tridant lui souria amicalement ,

Bonjour a toi Lanfeust, je te remercie de ton acceuille

Oh je te suis avec plaisir

Tridant emboita le pas deriere Lanfeust pour pas ce perdre

Kimi avait laissé son cheval à l'écuyer. Un serviteur lui ouvrit la porte.

Bonjour, je suis Kimi32 de La Touraille, Seigneur de Besson, pouvez-vous m'annoncer au Duc de Souvigny.

Kimi, espéra ne pas être le dernier arrivé, car il venait juste d'être élu Bailli, donc il y en avait des choses à vérifier.

Damoiselle Aliénaure, un des invités demande après le Duc.

Aliénaure releva la tête et adressa un léger sourire au domestique.

Je viens Ferdinand.

Bref regard vers le grand miroir afin de vérifier la tenue et la jeune intendante descendit le grand escalier. Un jeune homme attendait dans le vestibule.
Elle combla la distance les séparant et s'inclina respectueusement devant lui.

Je vous souhaite la bienvenue en cette soirée, messire. Je me présente, Aliénaure, intendante d'ici lieux. Le Duc finit de se préparer. Je vais vous conduire en salle à manger

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 17/12/2009

Un attelage au grand trot. Six chevaux écumant. Quatre cavaliers accompagnant. Arrêt devant le perron du château de Souvigny. La poussière retombée, les armes du Comte d'Aubeterre se dessinèrent sur le carrosse. Enfin arrivés ! Le voyage avait été éprouvant. Le froid, la pluie, la neige souvent et ce vent qui vous glaçait jusqu'aux os. Malgré sa chaufferette, Elayne était transie. Mais elle n'avait pas à se plaindre. Tant de malheureux souffraient de ce dur hiver qui se prolongeait.

Valnor l'aida à descendre. Elle était encore fatiguée de son accouchement. Mais elle se devait de répondre à l'invitation de son frère.

"Que l'on fasse annoncer notre arrivée, commanda le Comte Valnor à un de ses gens d'armes. Et vite ! La Comtesse a besoin de repos.

Elayne lui sourit, mais d'un bien pâle sourire qui en disait long sur son état.

"Ne vous inquiétez point, mon Ami. Je suis encore vaillante."

Il lui prit le bras et la mena vers l'entrée du château.

A peine Aliénaure eut-elle finit de parler qu'un crissement de graviers se fit entendre à l'extérieur.
Un regard vers le domestique présent pour que le vassal du Duc soit accompagné en salle à manger puis elle fit demi-tour et ouvrit la porte d'entrée.

Deux visages connus apparurent. Les Comtes d'Aubeterre. Personnalités maintes fois croisées à l'ADC du temps où elle représentait le Limousin. Période lointaine, désormais...

Révérence, sourire.

Bienvenus à Souvigny, vos Grandeurs. J'espère que vous n'avez point rencontré de soucis durant votre voyage.

Discret mouvement de la main vers la domestique présente à ses côtés.

Le Duc finit de se préparer. En attendant, je vous propose de laisser vos effets à Marguerite. Si vous le souhaitez, vos appartements sont à votre disposition avant de rejoindre la salle à manger.

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 17/12/2009

En pénétrant dans le hall d'entrée, Elayne et Valnor eurent la surprise de voir s'approcher Aliénaure de Malemort pour les accueillir. Ils ne purent dissimuler leur plaisir.

"Dame Aliénaure ! Vous ici ? En le château de mon frère ? Et commandant aux servants ? Mais qu'est-ce à dire ?"

Elayne ouvrait de grands yeux. Elle en oublia sa fatigue et se mit à rire en prenant un petit air complice.

"Lanfeust est un bien vilain cachottier. Je le tancerai dès que je le verrai. Il faut qu'il m'explique votre présence qui me réconforte. A moins que vous ne désiriez le faire vous même."

Kimi regarda une belle Dame descendre des marches et ce présenté.

Bonjour, Dame Aliénaure si vous me le pérméter?
Je suis Sieur Kimi32 de La Touraille, Seigneur de Besson.

Kimi était un petit ébloui devant ce petit rayon de soleil.

Je vous suis avec plaisir.

ElainedeTroy a écrit:: "Dame Aliénaure ! Vous ici ? En le château de mon frère ? Et commandant aux servants ? Mais qu'est-ce à dire ? Lanfeust est un bien vilain cachottier. Je le tancerai dès que je le verrai. Il faut qu'il m'explique votre présence qui me réconforte. A moins que vous ne désiriez le faire vous même."

Aliénaure était prête à répondre à la Comtesse quand le sous-entendu de la périgourdine infiltra son esprit. Bouche bée l'espace d'un instant, la jeune femme fixa la dame qui lui faisait face sans qu'aucun mot ne passe ses lèvres. Elle... Avec le Duc... Absurde!... Totalement!... Mordillement de lèvres malemortiennes, légère rougeur colorant les pommettes d'albâtre. Après tout, elle ne pouvait blâmer la soeur du Duc. Une Malemort diriger des domestiques, cela ne pouvait être qu'en tant que maîtresse de maison...

Alors était-ce bien utile de dire le contraire? Pas certaine. Au pire, ses justifications ne feraient que conforter les supputations aubeterriennes... Et puis le Duc se chargerait de lui expliquer sa présence.

Esquisse d'un sourire de circonstance.

Souhaitez-vous que je vous conduise à vos appartements, vos Grandeurs?

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 17/02/2010

Deux hommes, crottés par un long voyage. L'un deux légèrement en retraite, un peu plus grand. Le premier, légèrement vouté, pris la parole pour se présenter à une dame de belle préstance, visiblement la chef de toute la petite équipe qui s'affairait autour d'elle.

Dame Aliénaure je suppose? Je suis Giuseppe Cagliabrese Nanteuil Malaterra.

Sur ce, une révérence.

A peine eut-elle finit de questionner la Comtesse d'Aubeterre, qu'un homme d'un certain âge s'avançait vers elle.

Le grand-père!

Révérence devant l'italien à l'accent chantant.

Seigneur, je suis ravie que vous ayez pu venir. Le Duc sera heureux de vous voir. Voulez-vous vous assoir un instant? Le voyage n'a-t-il point été trop long?

Un siège prestement rapproché pour l'italien. La maladie était peut-être habituelle, elle n'en était pas moins présente, et les heures de voyage n'avait point dû en atténuer les souffrances.

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 17/12/2009

Bon ! Elayne en était pour ses frais ! Aliénaure était décidée à ne pas répondre à sa question. Elle fut déçue, comme toute femme trop curieuse. Il faut dire qu'elle aimait les belles histoires d'amour et elle souhaitait à son frère d'en connaître une aussi belle que celle qu'elle vivait avec le Comte d'Aubeterre. Elle soupira intérieurement. Tant pis ! Elle demanderait à Lanfeust. Il serait bien obligé de lui répondre. Elle avait les moyens de le faire parler.

Soudain une voix connue. Elle se retourna précipitamment.

"Pape ! Mon Pape !"

Elle était déjà dans ses bras à l'embrasser.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 18/02/2010

Le Pair de France avait voyagé aux côtés de son épouse à l'intérieur de la voiture, même s'il n'aimait guère cela, préférant monter son coursier d'habitude. Tantôt parlant avec elle, tantôt travaillant ses feuillets pour la Pairie profitant du repos que la Comtesse que son état avancé de grossesse lui imposait. Il était heureux de visiter la famille d'Elaine, un moment de détente au milieu de la turpitude parisienne.

Arrivée au domaine de Souvigny, il contempla la bâtisse avant de s'incliner et saluer Dame Malemort, laissant son épouse le soin de parler entre Dames. Et...

Dame Aliénaure je suppose? Je suis Giuseppe Cagliabrese Nanteuil Malaterra.

Valnor s'approcha avec un sourire du grand-père de son épouse. Encore une fois Elaine lui passa devant.

"Pape ! Mon Pape !"

- Doucement ! se dit intérieurement Valnor pas d'imprudences ce n'est pas le moment !

Mais ils ne s'étaient vu depuis si longtemps qu'il laissa les effusions se faire. Puis il s'approcha de l'aieul et lui tendit les deux mains avec un sourire.

- Mon père comment vous portez-vous ? le voyage n'a pas été trop éprouvant ? Valnor avait usé délibérément du terme "père" tel que lui avait recommandé de faire à son encontre Giuseppe, lorsqu'il avait demandé à celui-ci la main de sa petite fille.

Elle était pas au mieux de sa forme , mais pour Lanfeust elle viendrait a ce repas .
Cham une fois finit de se préparer alla s'occuper de sa fille Aelys , elle ne pouvait la laisser seule sans garde et puis c'était son grand réconfort , celle qui maintenait sûrement dans ce bas monde.

Une fois prête les voilà toute deux en route vers la demeure de lanfeust , sans doute en retard comme a son habitude .

Une fois dans l'entrée , la jeune femme vit des personne qu'elle ne connaissait pas mais cham les salua comme il se doit . Puis un sourire se dessina sur son visage quand elle vit kimi , elle s'approcha de lui .

Bonjour Kimi ! Tu vas bien ?

Puis se tourne vers la personne sans doute chargé de les accueillir

Bonjour je suis Cham de Noyant d'Allier et ma fille Aelys , lanfeust nous a convié a venir .

L’Invitation reçue de Lanfeust avait mit passablement d’agitation dans la demeure où vivait la famille de l’un des couples d’Emerask.

Pendant que les affaires dont ils auraient besoin étaient préparées, les chevaux étaient sortis et chargés.

Les Jumeaux étant encore trop jeunes pour ce genre d’ « escapade », ils avaient été confiés à bonne garde.

La nouvelle avait un peu inquiété Jiao, elle en était ravie et honorée mais elle craignait un peu la route qu’il faudrait parcourir, le bébé étant de plus en plus agité au fil des jours passant. Les longues chevauchées à un peu plus de huit mois de grossesse ? Tout de la Jiao ça !

Aussi, cette invitation avait rendu Alexandre tout heureux. Il semblait vraiment apprécier le Duc de Souvigny.

...

Une fois à l'exterieur de la Demeure, le trio qui se préparait à partir trouvèrent les chevaux, n'attendant plus que les cavaliers.
Il était rare que Jiao laisse monter Alexandre seul à cheval, elle craignait de le voir tomber, se blesser...ou pire...Simple inquiètude d'une mère poule peut-être ? Quoi qu'il en soit, le jeune homme ne perdit pas de temps pour grimper sur Antor, pendant que Jiao se bagarrait pour monter Mirage.
Après une rude bataille d'environs cinq minutes, la brunette était enfin installée sur son cheval, qu'elle possédait depuis son entrée en son (ancien) ordre.

Un regard vers son époux, juché sur Lanrei, puis sur Alexandre qui parvenait à maintenir Antor et c'est ainsi qu'ils prirent la route.
Ne voulant pas perdre trop de temps et arriver plus en retard qu'ils ne l'étaient déjà, Jiao supportait les petits chocs ressentis à chaque pas rapide que faisait Mirage.

Le voyage se fit assez rapidement, Alexandre se trouvant parfois en tête, parfois en arrière, le couple, lui, restant souvent côte à côte.
Ils profitaient du paysage que leur offrait encore et toujours le duché.

...

Arrivés en vue du Château de Souvigny, l'allure de route se fit un peu plus rapide encore.

A l'entrée du castel, Jiao s'accrocha à Mirage, avant de se laisser glisser au sol, encaissant un nouveau léger coup. Elle sentait ses jambes quelque peu engourdie alors qu'elle veillait à épousseter sa tenue.

Souriante, elle alla aider Alexandre à descendre d’Antor, puis se tourna vers Rv, allant le rejoindre.

Prévenu par Jiao d'une invitation a Souvigny,
Rv avait préparé les chevaux avec Alexandre tandis son épouse se préparait elle.
Il faut dire qu'avec cette grossesse, elle passait plus de temps a se choisir une tenue qu'a son habitude.

Une fois tout ce petit monde prêt, ils prirent tranquillement la route qui les mènerait a Souvigny.
Rv ayant laissé son fils monter Antor qui est le plus docile des chevaux,
celui-ci pu s'amuser quelque peu le long du chemin... ça lui ferait de l'expérience...

Approche du château,
On accélère légèrement l'allure afin d'arriver rapidement devant la porte.

Descente de Cheval pour tous, Rv s'avançant vers le premier garde qu'il croisa

Bonjour mon brave !
Faites conduire nos chevaux aux écuries je vous prie

Ceci fait,
il passa le porte, Jiao a son bras, Alexandre restant bien derrières eux.

En bon militaire, Rv balaya la nombreuse assemblé du regard se disant qu'il ne connaissait pas grand monde parmi celle-ci...
Il s'avança vers celle qui avait l'air d'être l'intendante...
Celle qui avait l'air d'accueillir tout le monde...
Au moins comme ça, il ne pouvait pas se tromper...

Bien le Bonjour Dame.
Je me présente, Hervé Maximilien d'Emerask dict Rv et voici mon épouse Jiao
et notre fils (adoptif) Alexandre

Aliénaure assistait, sans savoir quoi faire, aux retrouvailles familiales. Assez mal à l'aise, elle s'était recroquevillée dans un recoin du hall d'entrée. Heureusement, d'autres invités arrivèrent. Tout d'abord, une jeune femme avec une petite fille. En souriant, la mini Malemort s'avança vers elles.

Le bonsoir, Dame Chame. Bienvenue à vous en Souvigny. Et à toi aussi, jeune demoiselle.

Au moins, Arthur se sentirait moins perdu au milieu des adultes...

Nouvelles arrivées, nouveaux visages inconnus. Ceci dit, la chaise qui n'avait point encore servi pour le grand-père pourrait être bénéfique à la dernière invitée.

Sourire bienveillant au couple de futurs parents.

Je vous souhaite la bienvenue à Souvigny. Je suis Aliénaure, intendante des lieux. Le Duc doit attendre ses invités dans la salle à manger. Mais si vous voulez vous reposer, Dame Jiao, vous pouvez.

Genoux posés sur le sol, Aliénaure sourit au garçon.

Bienvenu à toi aussi, jeune seigneur. Je vais demander à ce qu'on mette votre monture aux écuries.

Age RP : 10 Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 19/02/2010

Une nouvelle journée qui se levait sur la campagne auvergnate.

Et L’animation était déjà présente chez les d’Emerask.

Hop, hop, le départ était proche.

Tout heureux qu’il était d’aller revoir le Duc l’Alexandre, fier surtout et puis fier de sortir avec ses parents. Les chevaux étaient près à partir lorsqu’ils sortirent à l’extérieur de la demeure.

Il sautillait en approchant d’Antor. Il avait le droit de monter à cheval seul !!! Alors c’est sur qu’il en profiterait.

Une fois qu’il parvint à grimper sur le cheval, il attendit que ses parents lui donnent le départ, tentant de prendre le contrôle total de l’animal.

Lorsqu’ils prirent la première route qui les mènerait au château, il partit en avant, puis revint en arrière lorsqu’il y avait plusieurs chemins, c’est qu’il ne fallait pas se perdre !
Parcourant les routes auvergnates, Alexandre semblait, juché sur Antor, comme un tout petit garçon découvrant le monde.

Prenant de la vitesse, il s’imaginait en pleine course…pour le cœur d’une jeune fille, peut-être ?...C’est que les premières joutes auxquelles il avait pu assister l’avaient vraiment marqué.

Lorsque le château fut en vue, Alex fut rejoint par Jiao et Rv. Ils arrivèrent tous trois ensembles devant la grille.

Descendu de cheval, le jeune homme paru soudainement timide devant la taille imposante de l’édifice.

Il suivit bien calmement ses parents lorsque ceux-ci entrèrent dans le Château.

Son père interpella une Femme à qui il les présenta.

Alexandre observa la Dame les acceuillir, puis se mettre à sa hauteur.

Le tout jeune homme lui fit un grand sourire, un peu timide malgré son caractère habituel et ses 12 ans. Décidémment, il n'était pas habitué aux sorties.

Bonjour Dame !

Il se tourna, ensuite vers ses parents, attendant de savoir quoi faire.

Je vous souhaite la bienvenue à Souvigny. Je suis Aliénaure, intendante des lieux. Le Duc doit attendre ses invités dans la salle à manger. Mais si vous voulez vous reposer, Dame Jiao, vous pouvez.

Rv salue l'intendante

Enchanté dame Aliénaure.
Si le Duc est dans la salle à manger, nous allons l'y rejoindre.
Nous vous en faites pas pour nous, nous trouverons bien le chemin

Il lui sourit, filant dans les couloirs bras dessus, bras dessous avec son épouse...
Alexandre restant a quelques pas derrière.

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 17/02/2010

L'homme, orgueilleux de sa prestance avant toute chose, refusa net mais cordialement la chaise proposée par l'intendante.

Merci Dame Alienaure, mais je ne ressent pas autant de fatigue qu'il me faille m'assoir en public.

Merci quand même.

Il ajouta un sourire afin d'adoucir une phrase, qui, il le sentais maintenant, était peut être un peu trop sèche.

valnor a écrit:: Le Pair de France avait voyagé aux côtés de son épouse à l'intérieur de la voiture, même s'il n'aimait guère cela, préférant monter son coursier d'habitude. Tantôt parlant avec elle, tantôt travaillant ses feuillets pour la Pairie profitant du repos que la Comtesse que son état avancé de grossesse lui imposait. Il était heureux de visiter la famille d'Elaine, un moment de détente au milieu de la turpitude parisienne.

Arrivée au domaine de Souvigny, il contempla la bâtisse avant de s'incliner et saluer Dame Malemort, laissant son épouse le soin de parler entre Dames. Et...

Dame Aliénaure je suppose? Je suis Giuseppe Cagliabrese Nanteuil Malaterra.

Valnor s'approcha avec un sourire du grand-père de son épouse. Encore une fois Elaine lui passa devant.

"Pape ! Mon Pape !"

- Doucement ! se dit intérieurement Valnor pas d'imprudences ce n'est pas le moment !

Mais ils ne s'étaient vu depuis si longtemps qu'il laissa les effusions se faire. Puis il s'approcha de l'aieul et lui tendit les deux mains avec un sourire.

- Mon père comment vous portez-vous ? le voyage n'a pas été trop éprouvant ? Valnor avait usé délibérément du terme "père" tel que lui avait recommandé de faire à son encontre Giuseppe, lorsqu'il avait demandé à celui-ci la main de sa petite fille.

Giuseppe eut à peine le temps de reconnaitre la voix, très nette dans son souvenir, de sa petite fille, qu'il était déjà enlacé.

Maddai! Che gioia vederti! Ma fille! *Mouha!* Le voyage s'est bien passée? Je pensais bien te trouver ici, par Dieu! Et ton homme ou se cache t il ? Mah, derrière sa femme, comme tous les braves hommes, haha![/b]

S'approchant de son "petit-gendre", il empoigna les deux mains entre les siennes, encore caleuse des rênes du voyage. Il sourit à l'appellation de "père", décidément, un brave homme ce valnor!

Eh bien, comme tu vois, En desserrant ses mains de celles de son gendre Ca va assez bien pour me faire pousser la peaux de mes mains à cheval.

Et vous même, mes deux! Dites moi! Un enfant viendrait il bénir votre union?

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 18/02/2010

Tout sourire, Valnor répondit à Giuseppe avec le bonheur d'un enfant.

- Oui, Aristote nous a donné cette chance et ce bonheur. Bientôt vous pourrez vous targuez d'avoir une grande descendance avec tous ses petits-enfants et arrière petits-enfants qui gambadent dans les près. Petite pause, regardant les mains jointes. Vous avez bonne santé votre poigne est toujours aussi ferme et solide, mais ne faisons pas attendre nos invités. Se retournant vers son épouse qu'il savait heureuse de revoir son Grand-père, il lui laissa la place pour rester à ses côtés.

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